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L'antre du lapin blanc
14 novembre 2009

Mon golf erre

d_dicacelilla

C'est quand je voyage en train que je voie des montgolfières, comme si elles se planquaient le reste du temps, et ce partout tout autant.
Il suffit de ces rares contacts lointains pour entretenir le(s) mythe(s).

Je ne sais pas d'où elles partent, ni où elles vont : s'ils s'agit de montgolfières de compagnie, accrochées à un fil en promenade-pipi, ou de montgolfières indépendantes, qui se sentent libres dans le vent jusqu'au fatidique moment où elles ont besoin de carburant...

Ceci dit, les Monts Golfiers sont sans toits ni émois ; ils ne carburent pas, ils consument, sauf quand le téléphone sonne, auquel cas ils consomment.

En somme, je m'étonne d'être si conne : je papillonne et cela résonne...

Mon-gola-flaire est si loin qu'il n'est même pas là pour me tendre la main en me susurrant l'orthographe à donner à ces accompagnateurs de train.
Les mongoles fières sont si bonnes que l'une d'elles finira bien par me dicter les consonnes qui m'éviterons de passer pour une pochtrone.

Sérieux, si j'avais l'choix, mon plafond ne serait pas si bas et elles pourraient passer chez moi : ça m'éviterai de cultiver, toute la sainte année, mon ignorance concernant l'orthographe dont les tartiner.

Peut-être qu'elles sont comme les arc-en-ciel, si on en trouve une à terre on découvre des merveilles !?

Sans doute pas des trésors... mais qui sait si ce ne sont pas elles qui ont tué les dinosaures ?

.

Ce coup-ci, je profite de la chouette dédicace de Lilla pour illustrer ma dernière écriture-automatique en date,
Lilla qui avait dessiné, sans râler, une montgolfière de plus qui se promène dans ma cafetière.

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